Marlon Ucuncu a su rebondir en Turquie après son départ du Stade Rennais.
Marlon Ucuncu a su rebondir en Turquie après son départ du Stade Rennais. (Photo DR)

Fils de l’ancien pro Lorientais Bulent Ucuncu, Marlon n’a pas été conservé par le Stade Rennais en fin de saison dernière. Mais le milieu de terrain de 18 ans a réalisé son rêve de gosse en signant pro avec… le Besiktas Istanbul !

Peux-tu nous rappeler ton parcours depuis que tu as commencé le foot ?
« J’ai commencé le foot dans un petit club de ma ville Paotred Dispount. Ensuite, je suis parti avec mon grand frère à Quimper Kerfeunteun. En U15, je suis parti à l’US Concarneau en intégrant en parallèle le pôle espoir de Ploufragan. J’ai passé deux années à Concarneau puis j’ai été repéré par le Stade Rennais où j’ai signé un contrat stagiaire de 3 ans. Une fois ces trois ans passé, j’ai eu l’occasion de rejoindre Besiktas où je viens de mon premier contrat professionnel. »

As-tu l’impression de ne pas avoir eu ta chance au Stade Rennais ?
« Oui car j’ai bien commencé mes deux premières années. Je jouais beaucoup, le club comptait sur moi. Mais la dernière année il y a eu des changements gros effectifs puis le choix du coach et je n’ai pas eu ma chance. Je ne me sentais plus autant en confiance donc il valait mieux partir. »

« Je suis conscient que le plus dur commence ! »

Comment s’est fait ton départ pour Besiktas ?
« Mon profil a été proposé à Besiktas et le coach des U21 m’a proposé une semaine d’entraînements. Lors de la deuxième journée, il m’a dit que c’était bon et j’ai pu intégrer le groupe U21 directement. »

Signer un contrat pro, c’est le rêve d’une vie ?
« En effet c’est un rêve de signer dans un club aussi grand et puis c’est mon rêve depuis tout petit. Après je suis conscient que il va falloir encore plus travailler et que le plus dur commence. »

Que souhaites-tu désormais ?
« Je souhaite maintenant continuer ma progression au maximum, m’intégrer encore plus au groupe professionnel disputer des matches de coupes et pourquoi pas de championnat. »

Jérome Bouchacourt